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mercredi 13 juin 2012

L'Hermione en vidéo

Pour faire suite à mon article sur l'Hermione, voici quelques vidéos.

Mars 2012 Mise en eau de l'Hermione 

L'Hermione en image


Inspection de l'Hermione


mardi 12 juin 2012

L'ONU s'inquiète des «boîtes à bébé» où les Européens abandonnent anonymement leurs enfants

J'en avais déjà parlé dans l'article "En Suisse, on peut abandonner son bébé dans une boite spéciale."

Vu sur slate.fr

L'ONU s'inquiète de plus en plus de la progression du nombre de «baby boxes» (boîtes à bébé), où les parents peuvent anonymement abandonner leur enfant, estimant que cette pratique «va à l'encontre du droit de l'enfant à ce que son ou ses parents le connaissent et s'occupent de lui», rapporte le Guardian.
Le Comité des Droits de l'Enfant s'alarme du nombre de ces trappes, généralement situées à proximité d'hôpitaux, où l'on peut déposer des enfants et tirer une sonette pour prévenir son arrivée avant de quitter les lieux.
Cette pratique, connue en France sous le nom de «tour d'abandon» et qui n'existe plus dans l'hexagone depuis des années, avait disparu d'Europe le siècle dernier. Mais 200 boîtes à bébés ont été installées sur le continent européen dans les dix dernières années, affirme le comité, dans des pays aussi différents que l'Allemagne, l'Autriche, la Suisse, la Pologne, la République Tchèque ou la Lettonie, et plus de 400 enfants ont été abandonnés.
Des groupes religieux et des politiciens de droite soutiennent le retour des boîtes à bébés, selon des arguments qui ressemblent à ceux des militants anti-avortement, affirmant qu'elles «protègent le droit d'un enfant à la vie» et sauvent «des centaines de nourrissons».
Mais les membres du comité de l'ONU ne sont pas d'accord, comme l'explique l'une d'entre elles, Maria Herczog, psychologue pour enfants hongroise:
«On se retrouve dans plusieurs pays comme au Moyen-Age, avec des gens affirmant que les boîtes à bébé empêchent l'infanticide... Il n'y a pas de preuve qui soutienne cette affirmation.»

Voila une des raisons pour laquelle je continuerai a acheter des livres

Je suis un inconditionnel du livre, aussi bien romans, livres de voyages, encyclopédies, bandes dessinées... Absolument tous les types de livres du moment que le sujet m'interresse. L'intérêt du livre en soi, c'est qu'on l'achète, on l'emprunte, on le prête, on l'offre. C'est totalement libre d'où le parallèle avec le logiciel libre. On s'aperçoit que les livres numériques sont bridés pour ne pas être lisible avec les logiciels libres. Plus moyen de prêter le "livre", de le lire sur le support de son choix... Bref vous en apprendrez plus en lisant l'article qui suit, moi en attendant je continuerai mes achats "compulsifs" de livres.

Article vu sur le monde.fr

Je n’ai pas le droit de lire le livre que j’ai acheté

Quand on achète un livre papier, on peut le lire à l'oeil nu, ou avec des lentilles, des lunettes, et ce quelle qu'en soit la marque.
Quand on achète un livre numérique, son éditeur vous oblige généralement, non seulement à porter des lunettes, mais également à acheter telle ou telle marque de lunettes, sans quoi vous ne pouvez pas lire le livre que vous avez pourtant acheté...
Il y a quelques mois, un éditeur me menaçait, et tenait à préciser que le livre numérique que je m'apprêtais à lire avait été "tatoué" de sorte de surveiller l'utilisation qui en serait faite, et de "retrouver la personne qui dépose de tels fichiers sur Internet"... ce qui avait eu le don de m'escagasser un tantinet (voir Lisez, vous êtes surveillés


jeudi 7 juin 2012

Piriou. Un navire exceptionnel construit à Concarneau

Vu sur Ouest-France.fr

Ce matin au Musée de la Marine à Paris, Pascal Piriou présente le projet de construction d’un navire incroyable de grand voyage.
Sur le marché de la construction navale, le chantier concarnois est connu pour ces navires de travail : remorqueurs, barges, navettes offshore, chalutiers, ou thoniers océaniques. Ce matin, au cœur du Musée de la Marine où flotte toujours un parfum d’aventures maritimes, son PDG, Pascal Piriou, a présenté un projet digne d’un roman de Jules Verne. Un véritable défi technologique pour l’entreprise implantée dans le Finistère.
Contacté par un riche, très riche, homme d’affaires français, Piriou va construire un navire unique en son genre en France. Et pas n’importe quel bateau. Ni paquebot, ni yacht de luxe, le bâtiment de 76 mètres sera équipé pour naviguer confortablement sur toutes les mers du globe. Des plus chaudes aux plus froides, son armateur prévoit de le faire voguer plus de deux cents jours par an et d’embarquer des scientifiques pour des missions ponctuelles.
Rien ne sera trop beau pour ce rêve de milliardaire capable d’aligner plusieurs dizaine de millions d’euros pour vivre une retraite au gré des flots sur un bateau au look rétro.

Photos et vidéo sur le site de Ouest-France en début d'article.

Article plus complet sur Ouest-France Entreprise

Site de la société Piriou

Lien vers wikipédia à propos des navires d'exploration

Lien vers wikipédia à propos des voyages d'exploraiton scientifiques

vendredi 25 mai 2012

Vinci dévoile son anatomie

Vu sur liberation.fr

 Afin de percer les secrets du corps humain, le maître de la Renaissance a disséqué une vingtaine de cadavres : 87 de ses dessins sont présentés à Londres dans une exposition sans précédent.

Par VINCENT NOCE Envoyé spécial à Londres
Dans les années 1490 à Milan, Léonard de Vinci a schématisé le cerveau, figurant trois ventricules où se logent les quatre fonctions de l’intellect : la sensation, la mise en images, le jugement, la mémoire. Une organisation parfaite, à l’instar d’un monde créé par Dieu. Sur le même tracé où figure cette fantaisie sacrifiant aux croyances de son temps, le dessinateur séparait avec davantage de pertinence l’enveloppe du cerveau jusqu’à la pie-mère, membrane pourtant difficile à discerner à l’œil nu.
D’un côté, la foi d’une époque, imbibée de mythologie religieuse, toujours imprégnée des textes savants de l’Antiquité et des manuels qui continuaient d’en faire l’exégèse, sources que l’artiste consultait dans les bibliothèques des hôpitaux. De l’autre, le scalpel de son observation clinique. Entre les deux s’insère le crayon d’un des plus brillants dessinateurs de tous les temps.
Léonard a beaucoup pratiqué la dissection d’animaux, mais aussi d’hommes, dont il voulait tirer un traité d’anatomie. Il n’était pas seulement le génie artistique dont la réputation a gagné l’Europe de son vivant. Grâce aux milliers de pages qu’il a griffonnées, nous avons également idée de ses dons d’architecte et d’ingénieur, imaginant, avec plus ou moins de bonheur, un pont sur le Bosphore, un sous-marin, un char d’assaut ou un hélicoptère. De ses talents de musicien, qui avaient aidé à son introduction à la cour de Milan, pratiquement rien ne nous est parvenu. Quant à cette confrontation avec la biologie, elle est restée méconnue.