Google+ Le Plessis-Esmangard: juin 2012

mardi 26 juin 2012

Vacances au Maroc

Je reviens d'une (trop) petite semaine au Maroc où invité par une amie et en compagnie de deux autres loustics, nous sommes allés à Essaouira (et aussi une journée à Marrakech avant le retour).

Découverte de la médina, les fortifications, le souk, la plage (immense) et le festival Gnaoua qui commençait.

Une ville magnifique où la chaleur disparaît grâce au vent puissant, ça n'empêche pas les coups de soleil. Ne pas oublier le pull le soir, le vent est toujours là. Une gastronomie à base de poisson, grillé, en papillotte, en tajine, tout est bon. On peut aussi y déguster de la tête de mouton, des pieds de vache... Quand à la soupe marocaine, la hajija, on ne s'en lasse pas...Bref, un lieu idéal pour des vacances, le bon air marin, une petite ville où il fait bon vivre en prenant son temps et des gens super-accueillants.


 Le souk







  

jeudi 14 juin 2012

Google : un accord avec le Syndicat national de l'édition

Vu sur maxisciences.com

Après six années de conflit, Google a enfin trouvé un accord avec les éditeurs français sur la numérisation des livres indisponibles mais toujours sous droits. La firme de Mountain View a annoncé la bonne nouvelle lundi, alors que s'achève la procédure judiciaire pour contrefaçon entreprise en 2006 par le Syndicat national de l'édition (SNE).
Il aura fallu attendre six ans pour qu'une solution soit trouvée, mais il semble que cette fois, la guerre qui opposait Google aux éditeurs français est bel et bien finie. Le géant de Mountain View vient en effet d'annoncer avoir conclu un accord-cadre avec le Syndicat national de l'édition (SNE) pour la numérisation des livres dits indisponibles du XXe siècle, qui toujours protégés par le droit d'auteur sont très difficilement accessibles au public.
Cet accord signe alors la fin de la procédure pour contrefaçon lancée en 2006 par le groupe La Martinière-Le Seuil allié au SNE et à la Société des gens de lettres (SGDL) contre le projet Google Books. Sans aucune autorisation des éditeurs et des auteurs, le numéro un de la recherche sur Internet avait entamé en 2004 la numérisation de milliers de livres français et s'était naturellement attiré les foudres du monde de l'édition. En 2010, pourtant, Google est parvenu à trouver un terrain d'entente avec Hachette concernant la numérisation de plusieurs dizaines de milliers d'ouvrages indisponibles.

mercredi 13 juin 2012

L'Hermione en vidéo

Pour faire suite à mon article sur l'Hermione, voici quelques vidéos.

Mars 2012 Mise en eau de l'Hermione 

L'Hermione en image


Inspection de l'Hermione


mardi 12 juin 2012

L'ONU s'inquiète des «boîtes à bébé» où les Européens abandonnent anonymement leurs enfants

J'en avais déjà parlé dans l'article "En Suisse, on peut abandonner son bébé dans une boite spéciale."

Vu sur slate.fr

L'ONU s'inquiète de plus en plus de la progression du nombre de «baby boxes» (boîtes à bébé), où les parents peuvent anonymement abandonner leur enfant, estimant que cette pratique «va à l'encontre du droit de l'enfant à ce que son ou ses parents le connaissent et s'occupent de lui», rapporte le Guardian.
Le Comité des Droits de l'Enfant s'alarme du nombre de ces trappes, généralement situées à proximité d'hôpitaux, où l'on peut déposer des enfants et tirer une sonette pour prévenir son arrivée avant de quitter les lieux.
Cette pratique, connue en France sous le nom de «tour d'abandon» et qui n'existe plus dans l'hexagone depuis des années, avait disparu d'Europe le siècle dernier. Mais 200 boîtes à bébés ont été installées sur le continent européen dans les dix dernières années, affirme le comité, dans des pays aussi différents que l'Allemagne, l'Autriche, la Suisse, la Pologne, la République Tchèque ou la Lettonie, et plus de 400 enfants ont été abandonnés.
Des groupes religieux et des politiciens de droite soutiennent le retour des boîtes à bébés, selon des arguments qui ressemblent à ceux des militants anti-avortement, affirmant qu'elles «protègent le droit d'un enfant à la vie» et sauvent «des centaines de nourrissons».
Mais les membres du comité de l'ONU ne sont pas d'accord, comme l'explique l'une d'entre elles, Maria Herczog, psychologue pour enfants hongroise:
«On se retrouve dans plusieurs pays comme au Moyen-Age, avec des gens affirmant que les boîtes à bébé empêchent l'infanticide... Il n'y a pas de preuve qui soutienne cette affirmation.»

Voila une des raisons pour laquelle je continuerai a acheter des livres

Je suis un inconditionnel du livre, aussi bien romans, livres de voyages, encyclopédies, bandes dessinées... Absolument tous les types de livres du moment que le sujet m'interresse. L'intérêt du livre en soi, c'est qu'on l'achète, on l'emprunte, on le prête, on l'offre. C'est totalement libre d'où le parallèle avec le logiciel libre. On s'aperçoit que les livres numériques sont bridés pour ne pas être lisible avec les logiciels libres. Plus moyen de prêter le "livre", de le lire sur le support de son choix... Bref vous en apprendrez plus en lisant l'article qui suit, moi en attendant je continuerai mes achats "compulsifs" de livres.

Article vu sur le monde.fr

Je n’ai pas le droit de lire le livre que j’ai acheté

Quand on achète un livre papier, on peut le lire à l'oeil nu, ou avec des lentilles, des lunettes, et ce quelle qu'en soit la marque.
Quand on achète un livre numérique, son éditeur vous oblige généralement, non seulement à porter des lunettes, mais également à acheter telle ou telle marque de lunettes, sans quoi vous ne pouvez pas lire le livre que vous avez pourtant acheté...
Il y a quelques mois, un éditeur me menaçait, et tenait à préciser que le livre numérique que je m'apprêtais à lire avait été "tatoué" de sorte de surveiller l'utilisation qui en serait faite, et de "retrouver la personne qui dépose de tels fichiers sur Internet"... ce qui avait eu le don de m'escagasser un tantinet (voir Lisez, vous êtes surveillés


jeudi 7 juin 2012

Piriou. Un navire exceptionnel construit à Concarneau

Vu sur Ouest-France.fr

Ce matin au Musée de la Marine à Paris, Pascal Piriou présente le projet de construction d’un navire incroyable de grand voyage.
Sur le marché de la construction navale, le chantier concarnois est connu pour ces navires de travail : remorqueurs, barges, navettes offshore, chalutiers, ou thoniers océaniques. Ce matin, au cœur du Musée de la Marine où flotte toujours un parfum d’aventures maritimes, son PDG, Pascal Piriou, a présenté un projet digne d’un roman de Jules Verne. Un véritable défi technologique pour l’entreprise implantée dans le Finistère.
Contacté par un riche, très riche, homme d’affaires français, Piriou va construire un navire unique en son genre en France. Et pas n’importe quel bateau. Ni paquebot, ni yacht de luxe, le bâtiment de 76 mètres sera équipé pour naviguer confortablement sur toutes les mers du globe. Des plus chaudes aux plus froides, son armateur prévoit de le faire voguer plus de deux cents jours par an et d’embarquer des scientifiques pour des missions ponctuelles.
Rien ne sera trop beau pour ce rêve de milliardaire capable d’aligner plusieurs dizaine de millions d’euros pour vivre une retraite au gré des flots sur un bateau au look rétro.

Photos et vidéo sur le site de Ouest-France en début d'article.

Article plus complet sur Ouest-France Entreprise

Site de la société Piriou

Lien vers wikipédia à propos des navires d'exploration

Lien vers wikipédia à propos des voyages d'exploraiton scientifiques